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Assurance emprunteur perte d’emploi, une alternative salvatrice

Dans un contexte économique difficile, la perte d’emploi est une éventualité qui peut survenir du jour au lendemain. Aussi, pour prévenir ce risque, les organismes de prêt conditionnent souvent leur accord à la souscription d’une telle assurance.

Des avantages évidents

La couverture d’une assurance emprunteur perte d’emploi prémunit l’emprunteur d’un défaut de paiement s’il est licencié par son employeur. Ainsi, l’assureur prend en charge une partie ou la totalité des mensualités, suivant les modalités du contrat. En effet, chômage signifie baisse ou même absence des revenus alors que l’individu doit s’acquitter du remboursement de son crédit. Le fait que l’assurance supporte une partie de cette charge financière constitue une bouffée d’oxygène pour le budget de l’emprunteur.

Les caractéristiques

Ce type d’assurance est soumis à des conditions draconiennes, notamment en ce qui concerne l’adhésion et l’activation des garanties. Outre l’exigence d’un contrat de travail en CDI, il existe également des délais de carence et de franchise qu’il faut respecter avant de pouvoir prétendre recevoir une indemnisation. D’autre part, la prise en charge est généralement limitée à 50 % ou 75 % de la perte des revenus, elle atteint rarement les 100 %.

Compte tenu du risque couvert, l’assurance emprunteur chômage est un peu cher par rapport aux autres options d’assurance de prêt. Il représente en général de 0,20 % à 0,45 % par an du capital emprunté. Pour aider le candidat au crédit dans sa quête d’assurance adaptée à son profil et au meilleur coût, la loi Hamon prévoit l’instauration d’un taux annuel effectif de l’assurance (TAEA).

De même, dès le 27 janvier 2014, l’emprunteur reçoit avec l’offre d’assurance emprunteur une fiche d’information standardisée qui présente toutes les garanties couvertes.